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Dans le contexte de l'étude des symboles haineux, et leur usage par des militants d'extrême droite et néo-nazis, la toile d'araignée, fait référence aux skinheads suprémacistes Thomas Gibison et James Burmeister qui ont tué des personnes appartenant à des minorités racisées, afin de se faire mériter de tatouer une "toile d'araignée" sur le coude.
Ce tatouage est considéré comme un insigne d'honneur raciste. Elle fait preuve des violences commises, ou de l’assimilations des valeurs anti-migration, homophobes, transphobes, anti-antifa, etc. Ce tatouage est également un symbole de virilité ou relève de l’appartenance à un gang. Le tatouage de la toile d'araignée est un insigne très apprécié chez les skinheads et les hooligans. Quelques individus acceptés dans l'Armée Française portent aussi ce tatouage.
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